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Channel: marseille – STOP Islamisme !
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Marseille : 2 blessés dans une fusillade

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Nouvelle fusillade à Marseille. Deux hommes de 32 et 24 ans ont été touchés par des tirs mardi après-midi dans la cité du Parc Kalliste, dans le XVe arrondissement de Marseille. Selon la Provence qui révèle cette information, «le premier a été touché à la gorge et se trouve dans un état inquiétant, le second est blessé à la jambe».

Les circonstances de l’agression qui a eu lieu vers 14H30 dans la cité Kallisté, une copropriété populaire proche de l’hôpital Nord, n’étaient pas encore connues. Les auteurs de la fusillade ont pris la fuite, a précisé une source policière. L’enquête a été confiée à la police judiciaire.

Le Parisien

Merci à chandid


Marseille (13) : Des munitions trouvées dans un appartement

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Des milliers de munitions trouvées dans un appartement à MarseilleUn homme dissimulait tout un arsenal d’armes à feu et de munitions dans deux appartements à Marseille et à Saint-Tropez.

Pas moins de 5.500 munitions et onze armes ont été découvertes par la police dans un appartement à Marseille et à Saint-Tropez. Les policiers marseillais ont interpellé un homme âgé d’une cinquantaine d’années, rapporte La Provence mardi, qui a été placé sous contrôle judiciaire.

Un arsenal d’armes à feu et de munitions. L’individu a tiré sur un immeuble où vivait une dame à Marseille, qui a constaté les dégâts matériels causés par des impacts de balles. Alertée, la police s’est alors mise à la recherche du tireur. Lors de la perquisition d’un appartement à Marseille, la police a trouvé sept armes, trois bombes artisanales et des milliers de munitions. Cet arsenal appartiendrait au fils de la propriétaire de l’appartement, qui possède également un logement à Saint-Tropez. La perquisition à Saint-Tropez a révélé que l’homme y cachait également trois carabines, un pistolet et 4.000 munitions.

Source

Merci à Stormisbrewing

« Truffe intégrale », revolver et copinage, les curieuses écoutes de l’OM

A Marseille, la Nuit debout se heurte durement à la réalité des quartiers nord

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« Vous êtes les bienvenus. » La phrase est finalement arrivée, mais elle a beaucoup tardé. Ponctuant une longue « mise au point » que la maigre assistance de la première Nuit debout organisée dans les quartiers nord de Marseille ce samedi 23 avril – une centaine de personnes au plus fort de la soirée – a encaissée sans broncher. Fatima Mostefaoui, 50 ans, figure militante de la cité des Flamants (14e), joue le rôle de la puissance accueillante et tient à « dire les choses » en introduction. « Même si certains vont faire une dépression après… » s’amuse-t-elle.

Juchée sur les petits gradins en bois de palette qui font face au public, cette membre du collectif Pas sans nous cogne : « Ici, cela fait trente ans qu’on est debout. On n’a pas attendu pour combattre la précarité, les violences policières, les injustices sociales… Vous venez libérer notre parole ? Mais notre parole est libre. Personne ne l’entend parce qu’elle est censurée et stigmatisée. »

Face à elle, l’auditoire est presque exclusivement composé de militants associatifs, d’étudiants et de journalistes… Des habitués des Nuits Debout marseillaises, qui, depuis le 31 mars, se déroulent au cours Julien, en plein cœur du quartier populaire et culturel de La Plaine (6e), réunissant chaque semaine quelques centaines de personnes.

Comme Félix, 31 ans, ils arrivent du centre-ville et découvrent pour la plupart cet ensemble immobilier d’un millier d’habitants, fraîchement chamboulé par le chantier de la rénovation urbaine. « Quand j’ai vu que la Nuit debout se déplaçait dans les quartiers nord, j’étais ravi, explique cet enseignant-chercheur. J’ai pris mon métro, mon bus… Ça a duré une demi-heure. » Ce soir, la distance entre centre-ville et quartiers défavorisés de Marseille ne se mesure pas qu’en durée de trajet. « Où sont les habitants des Flamants ? Ceux des quartiers nord ? », prend à témoin Kader Atia, en pointant le public.

Certains participants ont beau rappeler, au cours des débats, qu’à Marseille, « la précarité ne touche pas que les cités », Zoubida Meguenni voit une déchirure plus grande : « Quand on est dans la merde dans nos quartiers, personne ne vient, souligne la fondatrice de l’association Sheba, trente ans de combats pour les femmes issues de l’immigration. Alors aujourd’hui, face à cette bienveillance, il y a une haine, c’est sûr. »

Les organisateurs de la Nuit Debout marseillaise pressentaient une première difficile. Tout au long de la semaine, le dialogue avec les associations et les personnalités des quartiers nord qui ont accepté de collaborer, s’est ponctué d’incompréhensions, de maladresses. (…) « Le lieu choisi n’était peut-être pas le bon », s’interroge Gérald, l’une des chevilles ouvrières de la Nuit debout à Marseille, avant de glisser, irrité par les critiques et les problèmes du soir : « Je ne suis pas sûr qu’on réédite l’expérience. »

Elu Front de gauche du secteur, figure de l’opposition au maire FN Stéphane Ravier, Samy Johsua veut quand même y croire : « L’idée est excellente. Le résultat montre que la construction du tous ensemble n’est pas si facile. Mais le bilan reste bon parce qu’on a essayé de le faire. »

(…) Le Monde

A Marseille, une synagogue en vente va être transformée en mosquée. MàJ : « La vente d’aujourd’hui devrait faire école »

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Moussa Koité, secrétaire général de la Ffaïca, fédération qui représente l’islam noir : « Il est étonnant que les communautés juive et musulmane aient enfin trouvé un compromis. C’est le genre de chose qui aurait dû se faire depuis longtemps mais on n’arrive jamais à rien parce qu’il y a toujours des polémiques. Il faut dépasser la problématique entre chrétiens, musulmans et juifs.

« Cette vente est une question de bon sens. Les musulmans sont presque 8 millions en France, ils manquent de lieux de prière, donc il est normal qu’ils puissent récupérer une synagogue ou une église qui ne sert plus et qui est aux frais des collectivités ou des contribuables. Il faut prendre les choses positivement. La vente d’aujourd’hui devrait faire école. »

Le Figaro

Merci à Joe le Rassis


La synagogue Or Thora était désertée par les juifs de Marseille depuis des années tandis que les mosquées peinaient à accueillir l’ensemble des fidèles. Le transfert se fait en bonne intelligence.

La synagogue Or Thora, sise rue Saint-Dominique à Marseille, n’en a plus que pour quelques semaines. En tout cas sous cette forme, car le lieu de culte juif va bientôt devenir une mosquée. Un compromis de vente vient d’être signé avec l’association musulmane Al Badr.

Alors que la synagogue désemplissait depuis plusieurs années, la petite mosquée gérée près de là par le collectif Al Badr devait faire face à un problème de surpopulation lors de la prière du vendredi, au point que les fidèles en étaient parfois réduits à observer leurs rites dans la rue, comme le raconte La Provence.

(…) BFM TV

Affiches « Aimons la France » : « Je pensais de loin que c’était l’extrême droite »

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Les candidats Les Républicains aux législatives ou les députés sortants du parti ont lancé une campagne d’affichage depuis deux semaines dans les rues de Marseille.

Un portrait d’un élu des Républicains. En fond, un drapeau français. Et un gros slogan en jaune : « Aimons la France ». Voilà les affiches que vous pouvez voir depuis deux semaines dans les rues marseillaises. C’est une précampagne des élus Les Républicains pour les législatives 2017.

Le style adopté, proche de celui du Front national, fait polémique. Les Marseillais accueillent d’ailleurs très froidement la campagne.

« C’est horrible […] Je pensais de loin que c’était l’extrême droite, mais c’est la droite ». Julia

« Visuellement ça fait un look totalitaire, avec la taille du drapeau, la façon dont les visages sont disposés. C’est limite je trouve ». Killian

« C’est du marketing politique. Il ne font plus que ça ». George


Le slogan des affiches passe mal également :

« Aimer la France c’est un beau projet, mais il faut voir aussi comment l’aimer. »George

« Ça fait patriotisme de bas étage ». Killian

« On peut aussi ne pas l’aimer, ça ne fait pas de nous quelqu’un de mauvais ». Julia

francebleu

Merci à Albator59

Marseille (13) : armé d’un pistolet, il menace de mort les passagers d’un bus

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Un homme a brandi un pistolet de collection et menacé les passagers d’un bus à Marseille mercredi soir. Il a été stoppé par trois légionnaires qui n’étaient pas en service, qui l’ont ensuite remis à la police.


Vers 22h, à la suite d’un appel concernant un individu menaçant et armé dans un bus, la police « a dirigé un équipage » dans le 14e arrondissement de Marseille, a indiqué la direction départementale de la sécurité publique (DDSP).
Il a été placé en garde à vue
Sur place, l’individu menaçant avait déjà été mis hors d’état de nuire : « Trois légionnaires qui n’étaient pas en service leur ont désigné un individu en précisant que la personne avait menacé de mort sans raison tous les passagers du bus » et sorti de sa ceinture une arme de poing. Le pistolet de collection n’avait ni chargeur ni munition.

L’homme, âgé de 41 ans et « archiconnu » des services de police, a été placé en garde à vue, a précisé la DDSP.
[…]

20 minutes

Marseille : la face cachée du voile islamique

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De plus en plus de musulmanes portent le hijab. Simple mode ?

« Ah les femmes ! Vous mettez des heures à choisir vos vêtements ! », plaisante Ahmed, dans sa petite échoppe du Marché du soleil. C’est qu’il y en a du choix, sur les étals du souk de la Porte d’Aix, où les clientes farfouillent frénétiquement : robes de soirées orientales, djellabas, babouches, pyjamas. Et aussi, depuis quelques années, deskhimars, ces longs voiles qui couvrent la tête et les épaules ; et des jilbabs, composés d’une ou deux pièces, qui enveloppent le corps de la tête au pied.

Les voilà, ces fameux vêtements islamiques qui créent la polémique depuis quelques semaines. Dans les boutiques de la Porte d’Aix, on n’a pas attendu les collections de « mode pudique » annoncées par H&M et Dolce Gabbana . Au milieu des mini-shorts et des tenues décolletées bon marché, le voile et les tenues « modestes » sont en bonne place dans les vitrines. Au centre-ville, dans les quartiers Nord, le hijab a gagné du terrain. Souvent porté par des jeunes filles, certaines en jupe longue, d’autres en jeans et en perfecto… Le voile islamique est-il un simple accessoire vestimentaire, comme l’ont soutenu récemment des étudiantes de Sciences Po Paris, organisatrices d’un Hijab Daycontroversé ? Ou le signe d’une volonté de prosélytisme associé au recul des droits des femmes, soumises à une emprise communautaire ? Qu’est-ce que le voile dévoile ?

Au Marché du soleil, Ahmed ne se pose pas la question. « Moi, je fais juste du commerce, depuis 35 ans. Et je m’adapte à la demande des clientes. D’ailleurs, pour le jilbab, j’ai aussi des modèles pour les fillettes. » Bien plus discret, un autre vêtement islamique fait fureur rue Camille-Pelletan : la cagoule ou le bonnet en jersey dissimulant les cheveux sous le voile. « Certaines clientes en restent à des modèles classiques, noirs ou gris, d’autres, souvent les jeunes, recherchent un peu de fantaisie », explique un commerçant de la rue du Bon-Pasteur, en montrant des cagoules aux couleurs vives, ornées de dentelles et même de strass et de paillettes ! « C’est bien d’avoir le choix, de pouvoir varier sa tenue, changer de couleurs. Vous savez, on peut vouloir cacher ses formes tout en restant jolie, féminine », commente Dounia. Voilée de noir, cette jeune femme fait du shopping avec sa belle-soeur, qui porte un foulard crème… et un maquillage appuyé : « Sortir sans khôl ni rouge à lèvres ? Moi, jamais ! », rigole-t-elle. D’ailleurs, « ça, ce n’est pas interdit par le Coran ».

Le voile, en revanche, est pour Dounia « une prescription religieuse » ; tout en restant, assure-t-elle, « un choix personnel » . « J’ai redécouvert la religion à ma sortie du lycée et j’ai décidé de me conformer aux commandements du Prophète », explique-t-elle. Au travail toutefois, Dounia renonce au voile, sans problème : « Ce n’est pas autorisé dans mon entreprise, donc je n’ai pas le choix ». En couvrant leurs cheveux, ces deux jeunes femmes veulent aussi « faire passer un message » : « Cela signifie que nous appartenons à une communauté et que nous sommes pratiquantes. » La mère de Dounia les rejoint. Cheveux au vent. « Chez nous, chacune fait ce qu’elle veut et mon mari n’a rien à dire ! », assène-t-elle.

Mais à la Porte d’Aix, tout le monde n’est pas disposé à parler chiffons. Dans les « boutiques religieuses » qu’on nous désigne, les questions des journalistes ne sont pas les bienvenues. Ici, on nous renvoie vers une adresse imaginaire. Là, le vendeur nous pousse pas vraiment gentiment vers la sortie. À la boutique Jilbabs et Quemis (la robe masculine, Ndlr), rue du Bon Pasteur, point de fanfreluches, de paillettes, de foulards colorés. Les articles féminins, que le responsable nous interdit de photographier, sont noirs, longs et lugubres.

En tête de gondole, un modèle de niqab : ce suaire noir qui enferme entièrement le corps des femmes, à l’exception des yeux. Ce vêtement, obligatoire en Arabie Saoudite, nous rappelle que, non, les femmes n’ont pas toujours le choix… […]

La Provence

Merci à Lilib


Damien Rieu (Génération identitaire) trolle Nuit debout à Marseille

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Damien Rieu (Génération identitaire) trolle Nuit debout à Marseille – Fdesouche


Narco-banditisme à Marseille : dans le XIIIe, les « Blacks » contre les « Gitans »

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De parole de policiers, c’est l’un des « contentieux » les plus meurtriers de ces dernières années à Marseille.

La guerre opposant le gang des « Gitans » à celui des « Blacks » serait à l’origine de plus de vingt morts et autant de blessés. Ils ont pourtant grandi ensemble, fréquenté les mêmes cours d’école et disputé des dizaines de parties de foot.

Mais depuis 2008, les anciens amis s’affrontent pour le contrôle d’un « marché de la drogue extrêmement lucratif » au cœur des cités des Lauriers, des Cyprès, des Cèdres et des Oliviers, situées dans le XIIIe arrondissement. Et les Oliviers ne sont pas signe de paix. Il faut dire que ce marché évalué « entre 35 000 et 40 000 € de chiffre d’affaires par jour », selon une comptabilité tenue par les trafiquants et découverte à la faveur du démantèlement d’un plan stups aux Lauriers par les policiers de l’antenne marseillaise de l’Office central pour la répression du trafic illicite des stupéfiants (OCRTIS).

Les frères François et Nicolas Bengler, 35 et 31 ans, « montés en puissance au cours du printemps 2008 dans le banditisme marseillais », sont entrés en conflit avec plusieurs membres de la famille Ahamada, d’origine comorienne. « Leur opposition a marqué le commencement de cette interminable série de règlements de comptes que connaît Marseille, affirme un haut fonctionnaire. Tout a débuté avec la tuerie de Sainte-Marthe. » Le 27 janvier 2009, cinq hommes, proches des frères Bengler, tombent sous le feu nourri de plusieurs tireurs, armés de kalachnikov. Trois victimes ne s’en relèveront pas, tandis que deux autres sont grièvement blessées. […]

Le 1er novembre 2012, Nassouri Mhoumadi, dit Nassou, 29 ans, affilié au clan des « Gitans », est abattu dans le XIVe arrondissement. Foued Bounaas, 30 ans, suspecté de cet homicide pour venger la mort de son propre frère tué en mars de la même année a, lui, « disparu » depuis le mois de juillet 2013…

Survient ensuite le triple homicide des Lauriers. Le 25 octobre 2015, les corps de deux adolescents de 15 ans et d’un homme de 24 ans gisent dans le hall du bâtiment D. Le nom de Mohamed Mhoumadi, 31 ans, surnommé Babouin, frère cadet de Nassouri, revient aux oreilles des policiers marseillais comme possible coauteur de cette tuerie. Mais ils n’auront pas le temps de l’interroger. Le 9 novembre de la même année, le tunnel Prado-Carénage, à deux pas du Vieux-Port, est le théâtre d’une nouvelle scène ultra-violente. […]

Le Parisien

Merci à Lilib

Marseille : Les malfrats utilisent les mêmes « moyens » que la police

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« On commence à en voir dans les dossiers, tout comme des brouilleurs d’onde, qui permettent d’éviter de se faire repérer », témoigne un avocat rompu aux affaires criminelles marseillaises.

Destinées à suivre une flotte d’entreprise ou à lutter contre le vol de voitures, ces balises sont à portée de chacun, bien ou mal intentionné. « MouchardGPS.fr » en vend à moins de 200 euros, quand « GPS-traceur.com » vante ses dispositifs « espion » aimantés pour pouvoir se fixer sous une voiture. Autonomes grâce à leur batterie, ils permettent de suivre à distance une voiture, dont la position s’affiche en direct sur un téléphone portable.

Ouest-France

Merci à T M

Marseille : Un jeune exécuté à la sortie du métro

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Une fusillade a eu lieu tôt ce jeudi matin dans les quartiers nord de Marseille. Un homme d’une vingtaine d’années a été pris pour cible à la sortie du métro. Il a succombé à ses blessures. Les enquêteurs s’orientent vers la piste d’un nouveau règlement de comptes mortel, le douzième depuis le début de l’année.

Marseille : Deux jeunes blessés à coups de couteau

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Un adolescent de 17 ans a été touché aux jambes par plusieurs coups de couteau, rue Mahboubi Tir (14e) près de la cité du Mail, à 18h30, et un autre de 12 ans a lui aussi été blessé aux membres inférieurs au cours d’une rixe dans la cité des Flamants à 20h. […]

Selon nos informations, malgré une certaine concomitance de lieu et de temps, aucun lien n’est pour l’heure fait par les enquêteurs entre ces deux affaires.

La Provence

Merci à Bobbynette

Marseille: Dégun est (enfin) dans le Petit Robert!

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Pronom indéfini de cinq lettres. Mot occitan, altération de l’ancien occitan negun, du latin nec unus « pas un ». Et désormais dans le Petit Robert. Le mot marseillais « dégun » a fait son entrée dans le millésime 2017 du Petit Robert, le dictionnaire de référence de la langue française. La définition du mot, « personne, aucun être humain », fait enfin de l’expression « on craint dégun » du français potentiellement compris au-delà du sud est.

(…)

Source

Merci à james12

Marseille : Une cellule d’écoute dédiée aux jeunes musulmans radicalisés

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Depuis deux ans, la préfecture de police des Bouches-du-Rhône a mis en place à Marseille une cellule d’écoute et d’accompagnement dédiée aux jeunes radicalisés. Ainsi, près de 80 personnes ont été suivies. Le but: s’engager dans un processus de déradicalisation et les résultats sont probants.

Les jeunes se confient sur leur parcours. Cette cellule précède l’ouverture des futurs centres annoncés par le gouvernement.


Marseille : nouveaux épisodes funestes de la guerre « Blacks-Gitans »

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C’est une guerre sans merci, et surtout sans fin. Une guerre, à la base pour le contrôle du trafic de stups dans le 13e arrondissement, qui ne connaît pas de limites, pas de frontières, pas de terrain privilégié. Vendetta sur vendetta, elle s’exporte et ensanglante le trottoir aux quatre coins de la ville, et depuis au moins huit années.

Cette guerre c’est celle qui oppose le clan des « Blacks », constitué autour de la famille comorienne des Ahamada – dont bon nombre des membres sont en prison après le démantèlement de leur réseau de stups aux Lauriers (13e) en mai 2015 – et celui des « Gitans », autour des Bengler, écroués eux dans l’attente de leur procès pour l’assassinat du jeune Jean-Michel Gomez, 16 ans, devant la cité le Clos la Rose en novembre 2010 et la séquestration d’un buraliste un mois plus tard.

Hier soir, le préfet de police, Laurent Nuñez, dans un communiqué de presse, précisait qu’en 2016, 32 réseaux de stups ont été démantelés, 100 trafiquants écroués et que les saisies d’armes ont augmenté de 51 %, éloignant la mort, pour un temps. Comme les cinq affaires élucidées par la brigade criminelle de la PJ et les sept autres projets d’assassinats déjoués. Grâce à cela, plusieurs vies ont été et seront épargnées dans ce roman noir qui compte déjà plus d’une vingtaine de chapitres. (…)

La Provence

Merci à Jesse James

Marseille : Verdict de clémence pour Mohamed et Youssef, les braqueurs du bijoutier

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Sans s’apercevoir qu’ils étaient filés par un équipage de police dans le cadre d’une enquête sur un précédent vol à main armée, les deux jeunes de la cité La Cayolle avaient stationné, ce 28 avril 2012 vers 10 h, leur Mégane volée juste devant la bijouterie Nedja.

Prétextant vouloir acheter un bijou en vitrine, Mohamed avait fait sortir la compagne du gérant avant que son complice, Youssef, ne la pousse violemment à l’intérieur en la jetant au sol. Les cris de la jeune femme avaient alerté son compagnon, Jérôme Colonna, resté dans l’arrière-boutique avec une stagiaire.

Effrayé, il s’emparait de son Smith et Wesson calibre 44, en règle, et se précipitait dans la salle principale de sa bijouterie. Voyant sa compagne au sol et Youssef avançant vers lui arme à la main, il avait tiré à plusieurs reprises. Blessé au niveau de l’avant-bras droit et de l’abdomen, le jeune braqueur avait tenté de fuir en donnant de violents coups de pied dans la porte vitrée […]

La Provence

Merci à Jesse James

Marseille : un homme de 35 ans tué par balles devant son enfant

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Quatre ou cinq balles, dont une à la tête. Un homme été tué au volant de sa voiture ce mardi en milieu d’après-midi dans les quartiers Nord de Marseille. Son enfant, âgé d’un an, se trouvait à l’arrière de véhicule. Il est indemne. L’homme de 35 ans a été retrouvé mort vers 16 heures par les pompiers, rue de Lyon dans le 15e arrondissement. Ce sont des tirs de Kalachnikov qui ont abattu la victime.

Depuis le 1er janvier, douze personnes ont été tuées par balle dans l’agglomération marseillaise, la plupart dans des règlements de comptes liés au trafic de drogue. La première semaine d’avril a été particulièrement sanglante, avec trois victimes dans une fusillade probablement liée au trafic de drogue, cité Bassens, puis un homme tué le lendemain dans un autre quartier populaire.

(…) Le Parisien

Marseille : Une famille syrienne confrontée à la CAF

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Cédric Mas, un avocat très actif sur Twitter, a relayé leur histoire ce mardi sur le réseau social. Objectif ? Rendre compte des demandes parfois paradoxales de l’administration française auxquelles sont confrontés les membres d’une famille originaire de Raqqa réfugiée dans la citée phocéenne.

Marseille : Tentative de meurtre au fusil à pompe

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Deux jours après un nouveau règlement de comptes, l’histoire a failli se répéter, à Marseille. Mercredi soir, aux alentours de 21h40, dans les quartiers nord, deux individus cagoulés s’en sont pris à un homme au fusil à pompe, en pleine rue. Pris pour cible, la victime, connue des services de police, est parvenue à se réfugier dans un hall d’immeuble. Ses deux agresseurs ont pris la fuite.

Au mois d’avril, la cité phocéenne avait connu un épisode très meurtrier, avec quatre morts en deux jours. Treize règlements de compte ont eu lieu depuis le début de l’année 2016. A titre de comparaison, dix-neuf personnes avaient été tuées en 2015 et dix-huit en 2014.

20 Minutes

Merci à Jerem

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